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Je Ne Suis Personne

  • : 30 années d'écriture DAMIEN VERHEE 2020 aux origines de l'écriture
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Damien Vrhee

  • VERHEE D
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....

Bientot mon 1er roman à paraître

Pour tous renseignements pour utiliser en musique un texte présent sur ces pages, contactez moi
Damien V.
06 50 83 87 89

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Vous Avez Loupe

20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 10:00

La psychose des nuit blanches

Boire à s'en crever la panse

Les ombres qui dansent

Le corps lourd qui flanche;

La lumière dans la Vodka

Quand au dehors, il fait froid

Il y a ce point à l'estomac

Non je ne suis plus ton roi

Et je ne suis plus tout à fait moi.

Marcher de nuit sans aucun but

Chercher en vain une autre flûte

Se tailler la peau au Cutter

La peau est tendre comme le beurre

Marcher de nuit sans aucun but

Et sourire bêtement aux putes

Le froid de la lame mordante

Enlève enfin de mon esprit

Le souvenir de ton sourire

Dans une agonie apaisante.

Sous une nuit infiniment noire

J'ai arraché mes cauchemars

A grands coups de poignard

Si seul dans cette nuit,

Dans cette vie que tu as fuis...


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6 août 2012 1 06 /08 /août /2012 20:40
Y a plus grand chose d'exceptionnel, les années passent où est le soleil? Je n'ecris plus, elle ne lit pas, et je ne suis rien ni personne. On oublie de se dire bonjour, on a plus l'coeur qui raisonne, ni la peau qui frissonne. On est englué dans notre train-train, loin du romantisme et des câlins. On fait l'amour comme on fait un mauvais café, sans saveur sans envie ... Vite avalé! On oublie l'autre à s'en oublier soi-même, on ne se dit plus "je t'aime". On se tourne le dos dans le lit, comme un vieux couple en fin de vie. On meurt à petit feu et on ne partage plus rien, les semaines s'egrainent sans vie, et nos conversations se perdent au loin... Je sais que plus rien ne changera, un jour j'ai fait un choix. Je me sens mourir dans ma vie, perdu dans la monotonie, y a plus de saveur, plus de couleur, le monochrome est une petite mort, et mes sens sont en berne. Je rêvais d'amour encore et plus fort. Ma vie est devenue si terne. Parler ne resoud rien, l'amour, le vrai est si loin.... Je ne suis plus moi-même, privé de " je t'aime", mon cœur est une fleur sauvage privée d'eau.....
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18 mars 2012 7 18 /03 /mars /2012 08:26

D'abord, je ne sais pas pourquoi
Elle n'a  pas pris le temps d'un adieu
Mais ensuite j'ai lu dans ses yeux

Que cette fois ci elle n'attendrait pas.
 
Et ce n'est peut-être pas sage
Je devrais encore essayer
L'amour s'envole comme un mirage
Je ne peux l'emprisonner.
 
Je ne peux juste pas la laisser partir
Car son coeur est juste comme le mien
Et elle supporte la douleur à l'intérieur
 
Alors si tu me demandes pourquoi
Elle  m'aurait dit adieu
Je le sais quelque part à l'intérieur de moi
 
Il y a une lumière spéciale
Qui brille toujours
Et même dans les nuits les plus sombres
Elle ne peut le nier
 
[Refrain]
Alors si elle est quelque part près de moi
Je prie Dieu pour qu'elle m'entende
Il n'y a personne d'autre
Qui ne pourra jamais me faire autant sentir
Si vivant
J'espérais qu'elle ne me laisserait jamais
S'il vous plait Dieu, vous devez me croire
J'ai fouillé l'univers
Et je me suis trouvé
Dans ses yeux
 
Qu'importe comment j'essaye
Ils disent que tout n'est que mensonge
Et c'est à ça que servent
Mes aveux de crimes
Des passions qui ne mourront pas
Dans mon coeur
 
[Refrain x2]
Alors si elle est quelque part près de moi
Je prie Dieu pour qu'elle m'entende
Il n'y a personne d'autre
Qui ne pourra jamais me faire autant sentir
Si vivant
J'espérais qu'elle ne me laisserait jamais
S'il vous plait Dieu, vous devez me croire
J'ai fouillé l'univers
Et je me suis trouvé
Dans ses yeux
 
 

D'abord, je ne sais pas pourquoi
Elle n'a  pas pris le temps d'un adieu
Mais ensuite j'ai lu dans ses yeux

Que cette fois ci elle n'attendrait pas.


Et maintenant il semble que
J'ai abandonné le fantôme de ma fiertée
Je ne dirai jamais adieu

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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 15:25

Il y eut tout d'abord cette gène,
Puis cette pièce un peu glacée,
Puis les premiers baisers assènent,
Des coups dans nos timidités.
Faisant voler nos frontières,
Éclatées comme le verre!
Les réserves les plus vives,
Les envies sont impulsives,
La terre pouvait bien s'arrêter,
On ne l'aurait pas remarqué!
Les caresses à n'en plus finir,
Qu'il est dur parfois de décrire,
L'improbable et le pur,
Le secret en ces jours de fêlure

Il fallut un temps certain,
Pour partager nos corps enfin,
Se délivrer des timidités,
S'embrasser, s'aimer, s'aimer...
La passion était criante,
Nul ne pouvait en douter,
Tes seins, citadelles ardentes,
Je voulais que tu enfantes,
Dessous je m'y suis égaré,
Quelques instants, je rêvais,
Nos mains se nouèrent,
Pour ne plus se lâcher,
Nos corps se mêlèrent,
Comme les étoiles d'un ciel d'été,
Des étincelles plein les yeux,
Myriade d'un couple heureux,
Les étreintes répétitives,
Jusqu'aux dernières lueurs tardives,
La journée se couchait,
Quand nos appétits comblés,
Nous succombions de sommeil,
Craignant le périlleux réveil,
Et la douloureuse séparation,
Dieu que ce fut exaltation,
Et dormir dans ses draps fatigués,
Seul, je me sentais désemparé,
Comme vidé de sens, pleurant
Sur ces instants si émouvants,
Dieu que nous nous sommes aimés,
Encore et toujours, à jamais.

M@dine

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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 16:39
Il y a ces jours sans fins, Ces heures infinies, ces cris chaque matin, ces regrets enfouis, tous ces jours pareils. Il y a ces pensées et ces peines, ces lueurs contrariées, ces nuits agitées, et cette éternelle triste aurore. Il y a ce temps dépassé, ces nuits glacées, et ses peures intestines.
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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 20:45

Je t'avais dans la peau

Comme on a une maladie

Je voulais être ton héros

Du moins être en ta compagnie

 

Je t'avais dans mes pensées

Comme le fisc aux basques des riches

Sous le charme de tes yeux de biche

Tu m'as complètement contaminé!

 

Je ne pensais qu'à toi

Qu'à ces fameuses "prochaines fois"

Je ne voulais plus que ta chaleur

Pour réchauffer mon coeur.

 

Je t'avais dans la peau

 

pour un certain Oscar qui a rencontré l'âme soeur.......

 

 

 

 


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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 06:23

J'ai encore ton goût sur mes lèvres

Dans mes rêves, j'ai encore cette fièvre,

Cette boule de feu dans le ventre

Quand on frappe à la porte, et que tu entres

J'ai encore l'odeur de ta peau

Ta chaleur qui me chauffait les os

Ta voix qui pénètre mes oreilles

Je te sens encore jusqu'au bout des orteils

Je me souviens du moindre de tes sourires

Je sais que tu as du tout quitter

Tu t'en es allée aux confins du monde

Sans toi ma terre n'est plus tout à fait ronde

Tu as fuis pour ne plus jamais m'aimer,

J'ai souffert de ton ton silence soudain

Ta voix était un guide sur mon chemin,

Tu n'as pas laissé la moindre adresse

La faute à une pauvre histoire de fesse,

Qui a pulvérisé nos vies, et tu as fuis

Où es-tu donc cachée aujourd'hui?

 Où t'es -tu terrée transie de honte?

As-tu posé sur ton coeur un carcan de fonte?

Où es-tu donc cachée aujourd'hui?

Je n'ai plus jamais réussi à aimer autant

Et tant de choses sont mortes en moi, depuis

J'ai donné tout mon amour à mes enfants

Où es-tu donc cachée aujourd'hui?

 

Le Printemps des poètes-2011 (c) Fleurs Sauvages 

 

 

 

 

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 11:41

On partage, on partage nos vies

On s'écoute, sans s'entendre

On réagit avec parfois l'envie

On encaisse sans se défendre

Parfois donne t-on son avis

Parfois préfère t-on s'éteindre

Parfois on partage vraiment

On s'intéresse gratuitement

Sans arrière pensée, sans feindre

Parfois seulement...

 

On partage, on partage nos vies,

On discute, on juge, on gracie

 On ne peut pas s'empêcher

De donner le fond de sa pensée

Parfois, c'est sincère et sensé

Parfois c'est idiot, mais c'est balancé

Parfois c'est pas vraiment réfléchi

Parfois a-t-on juste besoin de parler 

D'être réconforté avec un ami,

Parfois seulement....

 

On partage tellement,

Qu'on ne partage plus vraiment

Plus grand chose, tout l'monde s'en fiche

On est devenu tellement individualiste,

Qu'on ne partage plus grand chose

Qu'on fait si souvent semblant

L'écoute est distraite, inattentive,

On se plaint, on pleure, on ose

 Non on ne partage plus rien, vraiment!

On est tous plongé dans l'indifférence

Et l'indifférence est partout, maladive...

 

D Verhée (c) 2011, Dans un article de la revue "L'oeil du mal" 

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 11:58

The Scientist, de Coldplay

Ma guitare, un mug de café

La chair de poule sur les bras

Ces phrases et ces pensées

Des visages, je pense à toi,

 Des mots sur mon petit cahier

Mon lent chemin de croix,

Une journée ordinaire

Pleine de désillusions

Des pensées familières

J'écouterais bien une autre chanson. 

Des souvenirs, des émotions

Nourrissent ces pages noircies

Noircies de peines, de sensations

De regrets et de poisons....

The Scientist de Coldplay 

Je te revois dans le marc de café

Le breuvage n'est pas vraiment sucré

Ce que tu peux me manquer!

 

 

(c) Damien Verhée dans "L'oeil du mal" , projet de 2011 

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 13:30

J'ai ce point dans le coeur,
Les larmes du malheur,
Semblent vouloir m'étouffer,
Dans ma gorge toute serrée.
Ta voix résonne en écho,
Comme les cloches de l'église,
Il faut que je te dise,
Papa, tu étais mon héros,
Je pleure le manque de toi.



Ta voix résonne en écho,
Elle m'étouffe en longs sanglots,
Et les images de nos souvenirs
Aujourd'hui me font souffrir.
Non, il n'y a pas pire
Que de perdre un parent!
On ne s'habitue pas.
Avec le temps tout s'en va (?)
Léo disait n'importe quoi,
Pas les peines et les chagrins,
Dieu que dire cela était crétin!
Je n'étais encore qu'un enfant
Qui avait encore tant besoin de toi.


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