La psychose des nuit blanches
Boire à s'en crever la panse
Les ombres qui dansent
Le corps lourd qui flanche;
La lumière dans la Vodka
Quand au dehors, il fait froid
Il y a ce point à l'estomac
Non je ne suis plus ton roi
Et je ne suis plus tout à fait moi.
Marcher de nuit sans aucun but
Chercher en vain une autre flûte
Se tailler la peau au Cutter
La peau est tendre comme le beurre
Marcher de nuit sans aucun but
Et sourire bêtement aux putes
Le froid de la lame mordante
Enlève enfin de mon esprit
Le souvenir de ton sourire
Dans une agonie apaisante.
Sous une nuit infiniment noire
J'ai arraché mes cauchemars
A grands coups de poignard
Si seul dans cette nuit,
Dans cette vie que tu as fuis...