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Je Ne Suis Personne

  • : 30 années d'écriture DAMIEN VERHEE 2020 aux origines de l'écriture
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Damien Vrhee

  • VERHEE D
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....

Bientot mon 1er roman à paraître

Pour tous renseignements pour utiliser en musique un texte présent sur ces pages, contactez moi
Damien V.
06 50 83 87 89

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Vous Avez Loupe

4 septembre 2019 3 04 /09 /septembre /2019 21:34

Quand tu es loin de moi
J'ai tout l'temps froid
J'ai pas faim, juste froid
Juste besoin de penser à toi
Alors, alors...
Je regarde tes photos
Je relis tes messages
Je me souviens de ta peau
Et aussi de nos paysages
Et le train s'en va
Il t'emmène où je ne suis pas.

L'absence est maladie
L'absence est hérésie
L'absence est mélancolie
L'absence est une folie.

Quand tu es loin de moi
Je tire la couverture vers moi
Je cherche ton odeur
Je mets ma main sur mon coeur
Alors, alors
Je parle seul, je t'envoie
Un message vers le ciel
Il me semble entendre ta voix
Toucher tes lèvres de miel
Et le train s'en va
Il t'emmène là où je ne suis pas.

L'absence est souvenirs
L'absence est le pire
C'est le passé et l'avenir
Quand il faut partir.

L'absence...

L'absence...

 

 

(c) les fleurs sauvages ne meurent jamais 07/2019

Pour mettre en musique cette chanson contactez moi pour vous céder les droits au 0650838789

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26 décembre 2017 2 26 /12 /décembre /2017 17:02

#Quand je ne serai plus là,

Est-ce que tu m'oublieras?

Que garderas-tu de moi,

Dans tes souvenirs d'autrefois?

 

*Est-ce que ce sont des échanges au tennis,

Ou de mon enfance quelques cicatrices?

Quelques images d'un étudiant,

A l'université, il y a si longtemps?

 

*Est-ce que tu reverras quelques clichés,

De mes paternités dans les maternités?

Est-ce que ce sont mes quatre jolies filles,

Que je lègue à l'avenir, comme un soleil qui brille?

 

*Comment jugeras-tu mon parcours,

De ces années commerce ou au fond d'un cours?

De toutes ces régions que j'aurais traversé,

Quelles sont les images que tu vas garder?

 

#Quand je ne serai plus là,

Quand l'éternel hiver m'emportera,

Fais moi vivre dans tes pensées,

Surtout n'oublie pas combien je t'aimais!

 

*Est-ce que tu me verras "Manager",

Ou lors des karaokés chanter des heures?

Une émotion à l'écoute d'une chanson,

Ou de quelques mots couchés sur un vieux brouillon?

 

*Quelques briques rouges, et la chaleur du Nord,

Quelques mots d'amour sur un banc au dehors?

Et des milliers de routes pour brouiller le décor,

Ou par mes larmes et mes doutes, s'envolaient mes remords?

 

*N'oublie pas quand tu fermes les yeux,

Mes caresses sur tes petites mains,

Nos promenades le long des chemins,

Chasses ces larmes qui noircissent le bleu...

 

#Quand je ne serai plus là,

Tu vivras longtemps mon amour,

Et que survivent en toi,

Quelques bouts de moi, pour toujours....

 

(C) Damien Verhée, 2017, La Rochelle, les fleurs sauvages ne meurent jamais.....

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 16:16

Quel bonheur celui de  notre société

De voir proliférer l'individualisme

Ici règne le chacun pour soi,

Ici règne le chacun chez soi,

On s'adonne aux obscurantismes

De politiques intéressés.

Qu'elle est belle notre société

Abrutie par la consommation,

Qui nous berce d'illusions,

En échange d'une perte d' humanité.

 

§ J'ai repris le papier, les crayons

Pour noircir les pages, et plus mon coeur

J'ai repris goût à la Révolution

Pour retrouver un peu de lueur.

 

Il n'y a plus ni parent, ni ami

Juste la chaleur de l'argent,

On tweet on partage avec envie

Liens virtuels entre les gens,

On achète tout pour oublier

Oui, on est rien sans la monnaie.

On est devenu écervelé,

On a plus la moindre pensée,

Si ce n'est celle des médias ;

Qui nous abreuvent, tu vois,

De potins en guise d'informations,

Moi je refuse cette Collaboration,

Qui réduit l'homme et la pensée,

A grands coups de tentations,

Nouvelle forme d'esclavage,

Où l'on boit leurs immondes breuvages, 

Je ne veux pas vivre les couilles serrées

Je veux lutter le poing levé.

 

 § J'ai repris le papier, les crayons 

Pour noircir les pages, et plus mon coeur

J'ai repris goût à la Révolution,

Pour retrouver un peu de lueur.

Je retrouve mes sensations,

Les mots affluent comme un torrent,

Je veux dénoncer ces moutons,

Tous ceux qui se disent "bien-pensant"

Ils crachent sur toutes nos valeurs,

Et ont le tweet égocentrique

On partage des selfies et plus des fleurs

Le monde plonge dans le psychiatrique.

Ils se rencontrent sur le net

Persuadés de vivre le Grand Progrès,

Mais je te le dis en vérité,

Ce bas monde est triste et bête.

 

§J'ai repris le papier, les crayons,

Pour noircir les pages, et plus mon coeur

J'ai repris goût à la Révolution,

Pour retrouver un peu de lueur

 

DV (c) Les fleurs sauvages 2016.

 

 

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13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 20:00

 







                                                             Tu étais mon abri,

Tu étais mon toit,

J'étais ton pays,

J'étais ton roi.

Tu étais ma chérie,

Tu étais mon émoi,

J'étais ton mari,

Ton chez toi.

Nous étions unis,

Nous fûmes heureux,

Nous étions loin d'eux,

Ils n'existaient pas.

C'était bien ainsi,

Mais courte est la vie,

Rythmée de changements,

La tempête a balayé

Ma simple existence

Toi tu danses maintenant
Toi, tu danses...
Sur mes décombres,
Sur mes restes,
Et il m'incombe
D'oublier tes gestes
Que j'aimais tant.

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17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 12:58

Est-ce qu'un jour nous deviendrons vieux?

Est-ce qu'un jour nous serons heureux?

Il y a trop de larmes dans tes yeux,

Et l'amour rend toujours malheureux.

Il y a ,en lui, ce côté hideux

Il y a en lui, ce penchant pernicieux

 

Toi, t'avais soif de reconnaissance

Tu vomissais toute cette violence

Tu souffrais depuis l'enfance

Planquée derrière ton indifférence,

Tu voulais une certaine aisance

Le reste n'avait guère d'importance.

 

Est-ce qu'un jour nous deviendrons vieux?

Est-ce qu'un jour ce sera mieux?

Encore combien de larmes dans tes yeux?

L'amour n'est qu'un concept malheureux,

Un poison, une aberration, un démon hideux

Aveugles, on s'y est jeté à deux

 

D.V crues d'écrits 2011 (c)

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 22:19

Nous sommes des milliers de papa
A ne pas comprendre pourquoi,
On devrait vivre heureux à l'idée,
De voir grandir nos enfants sur carte SD.


Qu'importe ce que tu penses de moi
Penses à nos filles, veulent-elles cela?
Qu'importe ce que tu leur dis de moi!
Elles pleurent comme moi et n'y croient pas.
Nous souffrons tous, tu vois,
Nous souffrons tous les trois,
De ton triste choix.


Quelques milliers de Pères
Qui paieraient pour quelques heures,
Un sursis dans notre malheur,
Mais des mamans ne l'entendent pas.


Quelques milliers de papa,
A vouloir hurler haut et fort,

Qu'on ne veut pas de ce sort!
Sortilège d'une justice en laquelle on ne croit pas.


Qu'importe ce que tu penses de moi,
Penses à nos filles, veulent-elles cela?
Qu'importe ce que tu leur dis de moi,
Elles pleurent comme moi, et n'y croient pas.
Nous souffrons tous, tu vois
Nous souffrons tous les trois,
De ton triste choix.


Nous sommes des milliers de papa
Tristes à mourir de votre absence
A attendre votre adolescence,
Pour vous retrouver, je n'en doute pas.

_1128.jpg

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 21:16

Il y a du vent dans ma vie

C'est encore un jour pluvieux

Une pensée qui surgit

La mémoire me rend malheureux.

Des fois aimerait-on oublier,

Souffle le poids du temps.

Il fait si gris aujourd'hui,

Passent les saisons agitées,

Non, non rien n'a changé ;

Rien ne change jamais vraiment.

Il y a cet avis de tempête

Non, le coeur n'est pas à la fête

Les vents mauvais s'en vont bon train

Et je cherche en vain le chemin,

L'abri, le calme, le repos serein

Et je finis par douter

Que les nuages finiront par passer?

Il y a cette fichue dépression

Ces nuages noirs, ces éclairs

Alors j'écoute ces chansons

Elles me plongent dans cet atmosphère

Où mon verre n'est jamais vidé...

Et je bois pour me noyer

Tombent les pluies, et les feuilles noircies

L'automne emporte tout, sauf les peines...


Je pensais cela en me taillant les veines....

 

DV 2010 (c) les fleurs sauvages ne meurent jamais

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 14:26

Tic tac dans ma tête,
Des souvenirs et des lettres,
Des images incandescentes
Et une fin si violente.


Tic Tac



Bruit sourd dans mon ventre
Comme une déchirure violente,
Des rêves qui ne se vivent plus,
Et des photos en veux-tu?



Tic Tac




Tic Tac dans ma tête,
Retrouvailles et soirs de fête,
Des regrets et tes gestes
Qu'est-ce qu'il me reste?



Tic Tac



Des paroles que je buvais
Ces yeux dans lesquels je me perdais
Des grandes idées qu'on partageait,
Des caresses, des baisers, allongés.



Tic Tac



Ma main dans tes cheveux
Nos projets de devenir vieux
A deux.
Tic Tac
Ces milliers de mots couchés,
Des kilomètres d'encre bleutée.


Tic Tac dans mes idées,
Où tu es plus vivante que jamais,
Plus souriante, plus ennivrante,
Mais tu n'es plus vivante,
Non, tu n'es plus vivante!
Plus vivante


Tic Tac 

Je dédie ce poème-chanson à tous ces nouveaux lecteurs venus rejoindre mon monde. MAYLISE  DEBORAH ARLETTE MARC DE METZ, ALINE, PALOMA, DINE, AUBERT59, SIALMA, NETTOUE, DOUCE VITTA, MARIE, CRISTAL, VIRGINIE EDENSLAND, PASCAL2BESANCON, EVA48, BRUNO MONTAGNES, JEANNOT.....et ceux que j'oublierai malencontreusement....
Je vous remercie pour les commentaires laissés sur mon site, vos encouragements, votre estime aussi quelque part...

M@dine

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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 17:00

Caché derrière mes ronds de fumée
Dans ce bar lugubre,et  mal famé,
Je suis plongé dans des pensées
Qui font de toi une personne vivante
En écoutant des musiques peu entrainantes
Mais aux textes qui me font chialer..

#Je fais déjà parti des morts,
Alors un peu moins ou encore....

C'est comme si j'en voulais aux vivants
Je suis amer et traine mes peines
Je suis énervé,et  je suis "piquant"
J'ai tant de colères dans les veines,
Qu'on dirait un scorpion brûlant
Dard dressé dans le désert du Sahel.

Je fais déjà parti des morts
Alors un peu moins ou encore.....

J'ai ce nœud coincé dans l'estomac
J'ai ces cauchemars qui ne partent pas,
J'ai ces larmes qui brûlent ma peau
Quand je suis seul et mélancolique
Quand je suis loin de ces veaux
Qui me regardent comme un hérétique.

Je fais déjà parti des morts
Alors un peu moins ou encore...

J'ai ces insultes envers Dieu
Puis cette détresse envers ceux
Qui vivent heureux et unis
Moi je partage ma mélancolie
Avec ma cigarette,et ma vodka
Aujourd'hui le reste ne compte pas
Je fais déjà parti des morts
Alors un peu moins ou encore?


 Damien Caché derrière mes ronds de fumée
Dans ce bar lugubre,et  mal famé,
Je suis plongé dans des pensées
Qui font de toi une personne vivante
En écoutant des musiques peu entrainantes
Mais aux textes qui me font chialer..

#Je fais déjà parti des morts,
Alors un peu moins ou encore....

C'est comme si j'en voulais aux vivants
Je suis amer et traine mes peines
Je suis énervé,et  je suis "piquant"
J'ai tant de colères dans les veines,
Qu'on dirait un scorpion brûlant
Dard dressé dans le désert du Sahel.

Je fais déjà parti des morts
Alors un peu moins ou encore.....

J'ai ce nœud coincé dans l'estomac
J'ai ces cauchemars qui ne partent pas,
J'ai ces larmes qui brûlent ma peau
Quand je suis seul et mélancolique
Quand je suis loin de ces veaux
Qui me regardent comme un hérétique.

Je fais déjà parti des morts
Alors un peu moins ou encore...

J'ai ces insultes envers Dieu
Puis cette détresse envers ceux
Qui vivent heureux et unis
Moi je partage ma mélancolie
Avec ma cigarette,et ma vodka
Aujourd'hui le reste ne compte pas
Je fais déjà parti des morts
Alors un peu moins ou encore?


 Damien V(c) Les fleurs sauvages ne meurent jamais

(c) Les fleurs sauvages ne meurent jamais

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30 avril 2010 5 30 /04 /avril /2010 11:18

Je fais partie des élites
Je suis un pupille de la Nation
Je fais partie de ces hypocrites
Qui n'ont jamais de compassion
Je paye des impots en râlant
J'vote Sarko, probablement:
Je suis un peu facho, un peu libéral,
En politique comme en sentiment
J'ai des relations contre de l'argent
Le fric et le sex sont mes épouventails
Contre la dépression, le mal-être
J'me fous des repas champêtres
Je n'aime que les grands restau
Je frime en lisant Malraux et Hugo
Je tiens à la Bourse, pas à ma vie!
Je prends un rail de temps en temps
Je critique les romans de Lévy
J'envoie des sms charmants
Pour attirer des filles dans mon lit
Le lendemain, je les prie
De dégager rapidement,
Dans nos vies, pas de temps
Faut faire de l'argent,
Pas d'sentiment!
Du chiffre d'affaire, seulement
Je fais partie des élites!
Mes potes sont notaires ou avocats
Homme publics en tous cas,
Homme d'affaire en Kenzo
Ils ne roulent pas en Twingo
J'aime le pognon, pas les gens,
Je suis un type bien, vraiment!!!!

 

M.R(c) Avril 2010, in "Les fleurs sauvages ne meurent jamais", extrait...

 

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