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Je Ne Suis Personne

  • : 30 années d'écriture DAMIEN VERHEE 2020 aux origines de l'écriture
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Damien Vrhee

  • VERHEE D
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....

Bientot mon 1er roman à paraître

Pour tous renseignements pour utiliser en musique un texte présent sur ces pages, contactez moi
Damien V.
06 50 83 87 89

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Vous Avez Loupe

25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 13:28

Bonjour mes camarades lecteurs de blogs, je suis absent aujourd'hui, pour cause d'aller retour à Paris pour discuter de pistes de sortie de "crise" dans notre boutique. L'ambiance est morose, ça va être délicat...Pour me faire attendre je vous laisse de bonne heure un texte de 2006, début de la descente aux enfers....A trés vite.

FERMER LES COFFRES

Écrire quand la gorge se serre,
Les mots manquent, ô calvaire!
Tant de mal, et combien encore?
Échange espoir contre remords.

Que doit-on dire quand c'est fini?
Les mensonges transforment une vie.
Et combien de temps pour oublier?
Ne pas se retourner, mais avancer.
Non, ne pas se retourner...



Tout ranger dans un coffre
Foncer vers de nouvelles offres?
Ne plus ressasser ce passé,
Souvenirs d'une longue année.

Combien de mois, d'années?
Éternité courte pour tout chasser,
Comment expliquer que c'est fini?
Mon amour ailleurs s'est enfui...

Déprime, tristesse, et solitude,
Maux pour un nouveau quotidien,
La rancune pour unique habitude,
Et mon visage qui devient plus lointain,

Fermer les coffres sans trop pleurer,
La pire des choses qui me soit arrivée,
Fermer les coffres, ne plus trembler,
La souffrance que cela va engendrer!

Fermer les coffres et penser,
On ne peut pas tout partager.
Fermer les coffres,
Quand on ne peut plus attendre
Fermer les coffres
Je n'sais pas me rendre...

M@dine Dole 2006
 

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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 13:27
J'ai touché du bout de l'aile,
Le frisson absolu, le suprême,
Le talisman tabou de ma belle,
Après disette et carême,
Je peux bien mourir après tant!
Tant il n'y a de mots assez forts
Je trésaille encore sous les ondes,
Fou! Le plaisir de ces secondes
Qui m'a parcouru et me parcoure encore
A cette faculté de vous faire chavirer
De fendre les armures, transperçant
Mon coeur qui te réclame comme l'enfant,
Qui vient au monde pour sa maman,
Je suis bouleversé comme jamais,
Par ce flot de sentiments mêlés,
La tristesse de ne pas te voir quatre jours,
Après ce partage de nos vies, nos corps,
Entremêlés dans un dernier baiser,
Plein de pleurs avant de se quitter,
Qui en réclamaient encore,
Qui en réclameront toujours.
J'ai volé loin dans le Paradis,
Des moments inégalés et bleutés,
Dans le reflet de tes yeux,
J'aurais aimé partir à deux,
Tout fuir et reconstruire ainsi
Notre vie, sacré chantier!
Je ne supporte pas ce départ,
Au goût amer de l'attente,
Dans la peur, isolé dans le noir
Je me sens mort comme la fiente.
Amoindri et faible sans tes mains,
Engourdi, et à l'envers, terrifiante
Perspective de l'attente.
Mais je sais que les lendemains
Seront encore plus merveilleux,
Et nous feront brûler tous les enfers,
Qui s'efforcent à nous séparer.
Il n'y aura plus personne sur terre
Qui pourra dire l'avoir ignoré
Notre immense amour intense,
Ne connaît de répit, que romances,
Qui forcent le respect des passants,
Qui souriaient à grandes dents,
Quand nos corps se touchaient,
Sur le parvis de la Cité
Jusqu'au plaisir absolu et divin,
Qui, désolé, n'appartient
Qu'à nous, mon Amour
Tu vas me manquer.


M@dine, Paris, Sept 2007 (c)
 
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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 13:25

Le bruit sourd au dehors
Un boucan de tous les diables
Une attente insoutenable
Et il va falloir attendre encore.

Les voix qui se mêlent
L'agitation de partout,
L'un d'entre eux fait du zèle,
Et une autre rit, et c'est tout.

Quelques hurlements
J'entends ce bruit encore
Il se rapproche,  plus fort
Quelle vie m'attend vraiment?

Mon petit monde se détruit
Puis ce soleil aveuglant,
Je découvre plein de gens!
Je ne sais plus qui je suis?
  
J'ai peur de cet inconnu
Qui semble vouloir me happer
Je me sens terriblement nu
Plus de paroie pour me protéger.

Ce bruit qui hurle dans mes oreilles
Cette folie que je perçois
Toutes ces heures sans sommeil
Sans que je ne sache pourquoi?

Je vois un tunnel enfin
Je m'engouffre dedans
Mon corps s'étend, soudain,
Je vais pousser mon 1er cri d'enfant

C'est la première seconde de ma vie.

nb : Ce petit bout n'est pas notre Lyloue....Faudra encore attendre!!!! 


M@dine 25/6/09 (c) 

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25 juin 2009 4 25 /06 /juin /2009 12:21
La vie est une putain
Qui nous tient par la main,
Judas sur notre chemin,
Qui nous conduit, serein,
Dans le précipice divin,


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24 juin 2009 3 24 /06 /juin /2009 14:17
Mon coeur s'est suicidé,
Dans la chaleur d'été,
Subitement, sans prévenir,
S'approchant du paradis,
De trop près, de trop près.
S'y brûlant jusqu'à périr
Quand l' Amour l'a fuit,
Sur le marche-pied d'un TGV
"Mon coeur de battre s'est arrêté"
Regardant dans les yeux de son bourreau
Pour qui l'Amour n'était que fardeau
Aujourd'hui, elle est belle et vivante
De nouveau "princesse charmante"
Moi, je déambule dans les ténèbres,
Pas tout à fait mort....Mon Dieu!
Que le monde me semble funèbre,
Quand tu es loin de mes yeux.
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 13:35
Des petites folies
Courent dans ma tête
Chantent à tue-tête
Grands soirs de fête,
Elles fourmillent.



Des petites folies,
Fleurissent dans mon coeur
Me réveillent de bonne heure
Nourissent l'espoir infini
Des jours meilleurs.



Des petites folies,
Parcourent mon corps
Hurlent plus fort
Que l'amour serait harmonie?
Je t'aime si fort.



Des petites folies,
Chatouillent mon ventre
Elles vont et viennent
Parcourent et entrent
Dans la moindre de mes veines.



Des petites folies
Réveillent mes hardeurs
Prolongent les heures
Font battre mon coeur,
Serait-ce cela le bonheur?


                              M@dine  à toi qui va donner la vie...dans quelques jours
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 13:02

Un noel sans cadeau,

Ce n'est pas le plus important

Mais ne pas être où il faut

Ne jamais y être tout le temps

C'est cette idée qui me chagrine

C'est cette ombre qui se dessine

Qui me déchire le ventre

On vit caché dans l'antre

Feignant l'indifférence

Je m'égare dans cette érrence

Je tremble devant ces souffrances

Devant l'arrogance

De la vie qui s'acharne

A m'offrir le compliqué

Au lieu de la simplicité

Mon être se décharne

Et les hyènes sont légions

Elles préparent le célébration

De leur future réussite

J'ai le coeur en transite

Dans l'attente du dernier assaut

Mes valeurs en bouclier

Mon amour en fer de lance

J'attends dans la défiance

Qu'elles m'achèvent à coup d'épée

Et toi, tu dis m'aimer?

Sais tu seulement ce que c'est?

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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 13:00
C'est un jour de Noel,
Trsite gris comme la grèle,
La solitude m'étreint
Je me traine dans ce chagrin.
Loin de toi, comme j'ai froid
Nul part où aller.
Tu es en famille, et moi
Moi j'écris mes journées,
Lentes et langoureuses suplices
Qui me déchirent les entrailles
Il n'y a plus de gouvernail
Dans mon coeur complice
D'une tristesse habituelle
Qui malgrés l'amour charnel
M'amène sur des chemins de traverse
Où je me meurs lentement
Perdant mon âme d'enfant
Dans les brumes, les averses.
Je suis assailli par les doutes
Au carrefour de plusieurs routes
Sans savoir vers où aller
Quel chemin pour revivre un peu?
Vous tous qui me lisez,
Si seulement vous saviez
Comment vivre enfin heureux?
Avec une amie qui me cache
Des siens dans un bunker
L'amour ne doit pas connaitre de tâches
Ni d'ombres qui saignent le coeur,
Comment vivre dans le bonheur
Si l'on doit se terrer,
Se priver de toute vie normale
Car la relation interdite peut choquer
Elle est mon employée, moi le patron
Quel avenir sans fuite, sans passion?
Peut on vivre sous les cabales?
Mon Dieu, vois comme j'ai mal
Comme je souffre le martyre
Sans mes filles, sans famille
Ma vie est une drôle de satyre
Et les brûlures y fourmillent
Prêtes à m'achever sur l'autel
Dans un lent et sempiternel
Déchirement sans solutions
Tant les maux sont multiples
Meurt la fleur, ma tulipe
Fâne mon coeur flétrit
Meurt, ma vie....
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23 juin 2009 2 23 /06 /juin /2009 11:55
Quand la lumière s'éteint,
Quand partent nos chagrins,
Quand tu en es sur et certain,
Quand les regards semblent loin...


Je m'assois sur la rambarde,
Et mon coeur bât la chamade,
C'est là, la dernière des ballades,
Celle qui ne rend plus malade.


Quand les espoirs sont vains,
Quand il n'y a plus de lendemain,
Ni refuge, ni autre chemin,
Quand tu ne ressens plus la faim...


Quand plus une once de vie sociale,
Quand le téléphone ne sonne plus,
Quand tout a un air de déjà vu,
Quand la déprime devient normale...


Se lever sans but dans la vie,
Tu regardes les heures passer,
Interminables à s'égrener,
Quand tout espoir semble avoir fui...


Le Doubs depuis tout là-haut,
A l'air aussi doux qu'un agneau,
Mais en bas, il y a un loup,
Dernière morsure, dernier coup....


Quand le précipice est délivrance,
Sous la pluie ton corps balance,
Dans un élan de courage, en transe
Et, défilent les images de l'enfance....


Ne surtout pas penser à l'après,
Aux jugements qu'ils ne manqueront pas de porter
Mais la tristesse ne dure jamais
Et que l'on est vite oublié

Que l'on est vite oublié

La tristesse ne dure jamais,


Quand tombe dans l'oubli, ton prénom
Dans les oreilles cette belle chanson,
Quand le vide hurle ton nom
Comme un dernier trait d'union...

Sur la rambarde......

Que l'on est vite oublié

Sur la rambarde.....

La tristesse ne dure jamais....



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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 13:36

Je vois des lueurs bleutées,
Chimiques et incandescentes,
Trop longue est la descente,
Dans mon atmosphère enfummé.


Mon égo en mégot,
J'écoute les ragots,
Des rats pas bien beaux,
Voir même un peu salops.



Comme une cigarette écrasée
Je crépite et me consumme
Comme coincé dans l'cendrier,
Cerveau prisonnier des brûmes.


Mon égo en mégot,
J'écoute les ragots,
Des rats pas bien beaux,
Beaux coups de salops.


Quand je serai cendres,
Une poussière va redescendre,
Une flamme pour tout brûler,
Les volutes partent en fumée.


Mon égo en mégot,
Les mégots en écho
les échos du chaos
Chaos, mon alter-égo.


Mon égo en mégot
J'écoute les ragots
Des rats pas bien beaux
Voir même un peu salops!


M@dine (c)  2008
Quand les gens, sous le joug de la rumeur perdent confiance en vous sous couvert de dénonciations aussi hasardeuses que scandaleuses, n'ayant que pour but de destabiliser une équipe, un homme....Moi, j'ai le coeur lourd, aprés tout le travail et l'implication de voir résonner aussi violemment les colporteurs et leurs propos malsains aussi hauts, dans ma hiérarchie. La vie n'est qu'une succession de desillusions.
 

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