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Je Ne Suis Personne

  • : 30 années d'écriture DAMIEN VERHEE 2020 aux origines de l'écriture
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Damien Vrhee

  • VERHEE D
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....
  • Je suis un homme du Nord, qui a promené sa plume aux quatre vents, assis au milieu des crocus, calepin en poche, tout devient sujet à la rédaction de Poèmes "Sncf"...qu'on écrit partout, en toute occasion, comme ça, en improvisant, en écrivant....et plus de 640 textes sont ainsi nés, jusqu'à aujourd'hui, à l'aube de 2018....ou un tournant se prépare mes amis....

Bientot mon 1er roman à paraître

Pour tous renseignements pour utiliser en musique un texte présent sur ces pages, contactez moi
Damien V.
06 50 83 87 89

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Vous Avez Loupe

1 juin 2009 1 01 /06 /juin /2009 14:22
#REFRAIN#
Sans le sou, tu ne vis pas,
tu crèves c'est tout,
Profond, tout bas...
Sans le sou, rien ne va,
Pauvre merde, pauvre fou!
Tu creuses c'est tout
Profond en bas...


1*Les gens ne te regardent pas,
Même tes gosses ont honte de toi,
Tu te tais, tu ne manges pas,
Tu vis de rien, par ci, par là
Y'a pas d'recherches d'emploi
Dès le début, c'est "la fin d'mois"
Ton courrier tu ne l'ouvres pas.

#refrain#
Ton frigo crèves de faim
T'en peux plus d'dire: On ne peut pas!
A tes gosses qui ont des besoins,
De coca, de bonbons, de Nutella
Tu restes chez toi, tu ne sors pas,
Y'a pas d'restau, d'ciné, et tout ça,
Juste ta fierté, mais ça s'mange pas!
Tu espères plus, tu perds la foi.

#refrain#
Tout fout l'camps, c'est comme ça,
Ta femme, tes gosses, ne restent pas,
Tu traînes ta misère, ça n'coûte pas,
Les gens autour, tu ne les vois pas,
Un repas sur trois,
Piqué à la supérette d'en bas,
T'as beau être là, t'existes pas
Tu crois que tu vis, mais tu n'vis pas.

M@dine

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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 20:59


 


Cette chanson je l'ai découvert grâce à mon "Découvreur de talent" Seb, lors du déménagement de Mélanie de Blois à Béthune il y a quinze jours, j'ai adoré l'accent de cette petite française, dont on ne sait rien à propos. Ses paroles, complètement audibles sont excellentes, c'est quand même 100X mieux qu' Anais, non? c'est sur une jalousie de nana qui s'est fait tirer son mec...puis avec ce délicieux accent français, c'est tout simplement terrible. Ecoutez! Ca a fait un carton dans les pays scandinaves
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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 21:00
 

Celle ci n'est pas mal non plus, elle passe en boucle dans mon magasin....C'est sur la religion....Il est vraiment excellent cet auteur, et quel bonheur qu'il ne soit pas médiatisé! Faut dire qu'avec un prénom pareil....Il ne pouvait qu'être bon
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29 mai 2009 5 29 /05 /mai /2009 21:11
Il y a des soirs où l'on flotte
Dans un apesanteur reposant
On vit enfin tranquillement
Enfin peut-on dire que l'on récolte
Le fruit de nos espoirs
Il est tard pourtant ce soir
Je sens les sourires me manger
Me manger les joues à pleine dents
Tant j'ai enfin trouvé le bonheur
Un bonheur qui s'endort à mes côtés
Tous les soirs désormais,
Avec son petit ventre qui s'arrondit
A mesure que pousse notre bébé
Ce petit bout de grand bonheur
Qui viendra vite égayer nos vies.
Ce soir j'ai le sourire sur le coeur
D'avoir retrouvé mon ange
De partager avec elle mes heures
Et les plaisirs à deux qui démangent...
Je suis tellement bien auprès d'elle
Comme au retour du printemps, les hirondelles
Et mon coeur apaisé s'endort tranquillement
Sur son épaule rassurante et amoureuse
Le vie parfois s'éveille enfin ...
Je t'aime mon ange divin,
Je ferai de toi cette femme heureuse
Cette maman qui ne me quittera jamais.


M@dine  (c) 2009
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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 21:30

Neuf heures ce Jeudi,
Rassemblés sur le parvis,
De l'église, on pleure
Le dernier malheur;

Toute la cité en parle,
De Lille à Arles,
La mort a encore frappé
Le week-end dernier.

La foule prend place
Dans le sanctuaire coloré
Décorée comme un palace,
L'église est belle à en pleurer.

Mais le parfum des fleurs,
Peut-il atténuer la douleur,
De tous ces jeunes rassemblés,
Pour ces funérailles de l'amitié?

Ils n'étaient encore qu'enfants,
A peine seize et dix-sept ans,
Quand leurs vies s'en sont allées,
Un chauffard les a assassiné.

Ce lâche, inhumain, a dans sa fuite,
Endeuillé la vie de deux familles,
Et rendu orphelins une centaine d'amis,
La justice est faible dans ses poursuites.

On pleure, on se penche sur une épaule,
Quelle douleur au sein de notre école,
Des chants, des prières, on se console
La tristesse ne connaît pas de monopole.


M@dine (c), 1997 à Fabio et Lorenzo décédés sur les routes du Nord en 1997, je n'oublierais jamais les élèves que vous étiez, et les jeunes hommes si drôles non plus...  

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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 21:17

Ne te retournes pas

Sur ton passé,

Cassés les rétroviseurs,

Il n'est plus l'heure

Mon amour, oublies moi

Je ne suis plus là,
Maudits souvenirs!
Se peut-il être pire?
Publicité mensongère,
Tu étais mon Enfer!

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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 21:29
J'ai perdu beaucoup d'amis,
J'ai changé tant de fois de région
Je me suis égaré aussi
A croire en mes illusions.
J'ai fait tant de kilomètres,
Et cent vies m'ont diminué
Partout il fallait paraître
Souvent j'y ai beaucoup laissé
J'ai connu tant de personnes
Sans jamais aller plus loin
Il fallait vite que je change de coin
Sans un coup de téléphone,
Je suis souvent parti comme ça
Sans adresse , sans "chez moi"
Sans prendre le temps des adieux
En étant persuadé que c'était mieux.
J'ai traîné mes déception,
Aux quatre coins de nos régions,
Je me suis enfin posé,
Travaillant à vous retrouver
Et rattraper notre retard
Et j'ai décidé de ne plus partir
Car partir c'était fuir
S'en aller dans le brouillard
Et je veux vivre cette 100è vie
Comme si elle était la dernière
Je ne veux plus de passages éclairs
Je ne veux plus de sursis
Il est temps de construire
De bâtir sur la durée
De ne plus papillonner
Se poser pour le reste de la vie
Pour ne plus souffrir.

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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 13:53
Je crois que je suis au plus bas,
Dans l'estime de moi, dans le trou,
Dans la fosse commune, devenu fou!
Une folie qui ronge ce qui restait de moi
La pression dans le travail est un enfer
Tout cela pour payer mon lourd passé
Je suis un indien payant un lourd tribut ;
Un extra-terrestre, un ange déchu
Mes choix antérieurs, mortels regrets
Il n'y a plus que des hivers
Je ne vois presque plus mes enfants
Prisonnier du cycle de l'éloignement
Et je retombe dans les mêmes travers :
je suis dépendant de son amour!
Et les incompréhensions me bouffent
Je la sens bien cette folie qui étouffe
Une légion de personne la désire
Virtuellement, ou réellement, pire!
Les fantômes de son Passé reviennent
Un retour qui accentue mes peines
J'ai confiance mais je suis si loin
N'est-ce pas un sentiment un peu humain?
Une légion se ligue pour me tendre la corde
Dans tous les pans de ma vie, une horde
Sauvage s'obstine à me faire perdre la raison
Je vois le malin présent en toute occasion
Qui se délecte de cette souffrance
Que je traverse dans l'indifférence
J'étais un enfant plein de rêves encore
Mais dans ce monde d'adultes suis-je mort?
Elle me demande de tant accepter....
N'ai-je pas le droit de ne pas tout encaisser?
Je me sais atteint par la maladie, qu'elle nie
Aurais-je déjà perdu toutes mes facultés?
Ne doit pas t-on concéder un peu?
Si l'on veut partager une vie à deux?
Se mettre à la place de l'autre, dans ses yeux
Dans son coeur, aussi je l'espérais,
Pour ressentir ce qui l'a tant blessé
Un grand cinéma diffuse des films atroces
Dans mes souvenirs ils brûlent, féroces,
J'avais besoin de croire, d'être réconforté
Pas cette sensation de saouler, de saouler...
La pente est dangeureuse
La chute vertigineuse
Car elle ne semble pas me prendre au sérieux
Mon Dieu, faîtes que ce présentiment soit usurpé
Ou alors épargnes moi ô mon Dieu
D'avoir à sombrer loin de ses bras, desespéré.
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23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 21:01
 

Cette chanson, elle me prend aux trippes, assez gravement. Je sais que vous la "mangez" en allant sur ce site trop souvent mais surtout depuis la mort de mon père il y a deux mois, je n'arrive pas à éviter de l'écouter au moins une fois par jour....Je pense fort à toi Papa, et je suis triste que la famille se soit ainsi déchirée avec ton départ. La cohésion du jour de ton enterrement me parraît vraiment loin à présent. Mon Dieu qu'il est difficile de te survivre. 
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20 mai 2009 3 20 /05 /mai /2009 21:09

Insupportable attente,

Tu as pressé la détente,

Fuyant en courant,

tu es des leurs,

Il est des leurres,
Je meurs, je meurs,
Pas de pleurs.
Que mon souvenir te hante
Que mon spectre t'épouvante!
Ne te retourne pas,
Je suis déjà là;
Tu es des leurs,
Il est des leurres,
Je meurs, je meurs,
Pas de pleurs.

M@dine (c) 2006

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