13 juillet 2009
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12:20
Bonjour Papa, aujourd' hui voilà tout juste un mois que tu t'es envolé dans le repos éternel. Le temps
passe, et au lieu de cicatriser, il accentue ma peine. Non, je ne parviens toujours pas à réaliser que je ne te verrai plus jamais.
Tu me manques et rien qu'à penser à toi, ma gorge développe cette espèce d'acidité qui me met mal à l'aise. Une aigreur stagnante qui traîne entre la gorge le ventre, qui fait un noeud, et qui ne part pas.... Mon travail ne me permet pas de passer te voir, sur ta tombe, et cela me culpabilise au plus haut point. Pour autant je e pense qu'à toi, et me sens si seul dans ton absence. Il y a un mois, je m'éveillais, malade, au fin fond de le Bourgogne, et un coup de fil faisait basculer ma vie dans la tristesse éternelle. Je n'arrive pas à continuer ma vie sans toi, papa.
Je n'arrive pas plus à regarder les photos que j'ai de toi, elles me mettent mal à l'aise. Je me sens seul Papa, j'aimerais tant pouvoir te parler comme on le faisait le Dimanche matin, autour d'un café et du journal....
1 Mois que tu es parti, 1 mois que ma vie est comme plongée dans un coma, une apesanteur, une léthargie perpétuelle. Je t'aime, vois comme ton silence me renferme dans mes ténèbres intérieures.
Tu me manques et rien qu'à penser à toi, ma gorge développe cette espèce d'acidité qui me met mal à l'aise. Une aigreur stagnante qui traîne entre la gorge le ventre, qui fait un noeud, et qui ne part pas.... Mon travail ne me permet pas de passer te voir, sur ta tombe, et cela me culpabilise au plus haut point. Pour autant je e pense qu'à toi, et me sens si seul dans ton absence. Il y a un mois, je m'éveillais, malade, au fin fond de le Bourgogne, et un coup de fil faisait basculer ma vie dans la tristesse éternelle. Je n'arrive pas à continuer ma vie sans toi, papa.
Je n'arrive pas plus à regarder les photos que j'ai de toi, elles me mettent mal à l'aise. Je me sens seul Papa, j'aimerais tant pouvoir te parler comme on le faisait le Dimanche matin, autour d'un café et du journal....
1 Mois que tu es parti, 1 mois que ma vie est comme plongée dans un coma, une apesanteur, une léthargie perpétuelle. Je t'aime, vois comme ton silence me renferme dans mes ténèbres intérieures.