13 novembre 2009
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Et les pages demeurent blanches
Dans mon univers de méfiance,
J'ai le coeur en berne, prostré
Sur les ruines de ce Passé
Qui entâche ce présent différent
Qui engendre la peur, tel l'enfant
Qui effrayé par l'obsurité de la nuit
Réclame et pleure sa mère
Qui ne l'entend pas, pourtant.
J'ai des noeuds étouffants
Des bruits de botte dans le ventre
Une peur atroce, malgrés l'envie...
J'avance dans la prudence
Je me livre sans retenue
Je tais mes peurs, mes transes
J'irai jusqu'au coup de couteau qui tue
J'irai me faire empaler sur le pieux
De ce nouvel amour violent,
Fort de ces sentiments puissants
Mais sur mes gardes aussi, frileux,
La retenue ne dure jamais,
La retenue ne dure jamais,
Je le crains bien.
...à toi qui n'a même pas connaissance de ce site, heureusement
Dans mon univers de méfiance,
J'ai le coeur en berne, prostré
Sur les ruines de ce Passé
Qui entâche ce présent différent
Qui engendre la peur, tel l'enfant
Qui effrayé par l'obsurité de la nuit
Réclame et pleure sa mère
Qui ne l'entend pas, pourtant.
J'ai des noeuds étouffants
Des bruits de botte dans le ventre
Une peur atroce, malgrés l'envie...
J'avance dans la prudence
Je me livre sans retenue
Je tais mes peurs, mes transes
J'irai jusqu'au coup de couteau qui tue
J'irai me faire empaler sur le pieux
De ce nouvel amour violent,
Fort de ces sentiments puissants
Mais sur mes gardes aussi, frileux,
La retenue ne dure jamais,
La retenue ne dure jamais,
Je le crains bien.
...à toi qui n'a même pas connaissance de ce site, heureusement