2 août 2009
7
02
/08
/août
/2009
06:28
J'entends le sifflet du train,
Il sonne le glas sur mon coeur,
Lance le départ vers l'enfer,
Vers ces tristes journées sans fin,
Vers les privations et les horreurs,
De vivre loin de vous mes chers
Enfants, loin de votre lumière,
Enchaîné, loin de vos rires,
Enchaîné loin de mon rôle de Père
Dans ce quotidien du pire,
Juste pour un salaire de misère,
Je joue les beaux, les "directeurs".
J'entends siffler ce satané train,
Comme s'il me rappelait à l'enfer,
Où la solitude m'amène au loin,
Loin pour leur Dieu " Chiffre d'affaire"
Dans un univers triste et clos,
Où l'on finit toujours par te faire la peau,
Où il n'y a plus ni repères ni étoiles,
Putain de train qui m'emmène,
Mon coeur s'embrume et se voile,
Si loin des vrais "Je t'aime"
Ceux de mes deux petites têtes blondes,
Je repars dans ce putain de monde,
Où je ne vis pas.
Il sonne le glas sur mon coeur,
Lance le départ vers l'enfer,
Vers ces tristes journées sans fin,
Vers les privations et les horreurs,
De vivre loin de vous mes chers
Enfants, loin de votre lumière,
Enchaîné, loin de vos rires,
Enchaîné loin de mon rôle de Père
Dans ce quotidien du pire,
Juste pour un salaire de misère,
Je joue les beaux, les "directeurs".
J'entends siffler ce satané train,
Comme s'il me rappelait à l'enfer,
Où la solitude m'amène au loin,
Loin pour leur Dieu " Chiffre d'affaire"
Dans un univers triste et clos,
Où l'on finit toujours par te faire la peau,
Où il n'y a plus ni repères ni étoiles,
Putain de train qui m'emmène,
Mon coeur s'embrume et se voile,
Si loin des vrais "Je t'aime"
Ceux de mes deux petites têtes blondes,
Je repars dans ce putain de monde,
Où je ne vis pas.